Recevez votre guide gratuit par mail

Monnayeur automatique

Pourquoi en acquérir un ? Découvrez notre guide complet sans plus attendre.

Hygiène HACCP

Connaître l’essentiel sur l’HACCP. Découvrez notre guide complet sans plus attendre.

Logiciel Hôtel / PMS

Comment optimiser le tarif d’une chambre ? Découvrez notre guide complet sans plus attendre.

Fidélité dématérialisée

Augmentez votre CA avec la fidélité dématérialisée. Découvrez notre guide complet sans plus attendre.

En soumettant mes informations, j'accepte que les données saisies soient exploitées par JDC SA

voir plus

dans le but de promouvoir un produit, un service, une nouveauté et/ou de vous communiquer une information liée à l'utilisation de votre matériel par le biais d'emails, appels téléphoniques et/ou courriers. Mes données seront conservées pour une durée de 3 ans dans le cas d'une prospection commerciale à compter de leur collecte ou du dernier contact émanant de ce dernier et de 5 ans (durée maximum de nos contrats avant renouvellement) dans le cadre de notre gestion de relation client à compter de la date du début du contrat. Pour connaître et exercer vos droits, notamment d'accès, de rectification, de portabilité, d'effacement ou de limitation vous pouvez consulter notre politique de confidentialité des données personnelles et/ou nous écrire à : rgpd.jdc@jdc.fr

Chèque sans provision : les recours possibles pour le commerçant

Chèque sans provision[1]

Un commerçant n’est pas obligé d’accepter un règlement par chèque bancaire. S’il choisit de refuser ce mode de paiement, il doit en informer les clients de manière claire avant que ces derniers ne passent en caisse. Cela peut se faire à l’aide d’une pancarte visible près de la caisse ou d’un panneau à l’entrée du commerce. Il peut également soumettre l’acceptation de ce moyen de paiement à un montant minimum ou maximum. Là encore, les clients doivent en être préalablement informés de manière claire et visible. En acceptant un paiement par chèque bancaire, le commerçant prend le risque de recevoir un chèque sans provision. Quels sont les recours qui s’offrent à lui ?
 

A savoir : un chèque sans provision d’un montant inférieur à 15€ sera toujours payé par la banque de l’émetteur.

Procédure amiable

Avant de faire intervenir un huissier ou d’engager une procédure, le commerçant doit d’abord effectuer une procédure amiable. Celle-ci commence lorsque la banque du débiteur informe celle du commerçant que le compte n’est pas suffisamment approvisionné pour que le paiement puisse avoir lieu. Le commerçant va alors recevoir une attestation de rejet pour défaut de provision. Il dispose ensuite d’un délai de 30 jours au cours duquel il peut :
– soit prendre contact avec le débiteur et lui proposer de régler la somme due avec un autre moyen de paiement : carte bancaire, virement ou espèces ;
– soit demander une nouvelle présentation du chèque.
Les paiements par carte bancaire évitent ce genre de désagrément. Le commerçant sait directement si le paiement est accepté ou refusé grâce à un message qui apparait sur le terminal de paiement électronique lors de la transaction.

Procédure forcée

A l’issue de ce délai de 30 jours, le commerçant peut demander à sa banque un certificat de non-paiement. S’il ne le demande pas, ce document doit lui être envoyé d’office 30 jours après la deuxième présentation du chèque. Il ne concerne que les chèques d’un montant supérieur à 15€.
La notification de ce certificat de non-paiement au débiteur par un huissier vaut injonction de payer. La somme doit être régularisée dans les 15 jours qui suivent. A défaut, l’huissier peut alors engager une procédure d’exécution forcée qui peut prendre la forme d’une saisie sur salaire ou d’un blocage des comptes bancaires.
Les frais liés à cette procédure forcée sont supportés par le débiteur et non par le commerçant.

Découvrez également notre offre caisse enregistreuse 


Ces articles pourraient vous intéresser

tpe caisse

Comment sécuriser ses encaissements : bonnes pratiques et outils à adopter

La sécurité des encaissements est devenue un enjeu majeur pour les commerçants et les restaurateurs. Les fraudes, erreurs de caisse et pertes de données peuvent coûter cher, autant sur le plan financier que sur celui de la confiance client.

Lire l’article
ticket caisse conformite

Ce qu’il faut savoir sur la certification des logiciels de caisse (NF525 et loi anti-fraude TVA)

Depuis 2018, tous les commerçants assujettis à la TVA doivent utiliser un système ou logiciel de caisse certifié. L’objectif ? Garantir la fiabilité, la conservation et la traçabilité des données d’encaissement afin de lutter contre la fraude fiscale.

Lire l’article
gestion especes monnayeur automatique

Comment optimiser la gestion des espèces dans votre commerce ?

Même si les paiements par carte et mobile se développent, les espèces restent indispensables pour une grande partie des clients.

Lire l’article